28. Juni 2018

Unzufriedenheit an der PH Bejune

Ein anonymes Schreiben kritisiert die Zustände an der PH BEJUNE (Berne-Jura-Neuchâtel). 
Une lettre anonyme à la HEP BEJUNE malgré un dialogue établi, Radio Fréquence Jura, 28.6.



Des étudiants de la filière secondaire de la HEP BEJUNE ont fait savoir leur mécontentement sur la qualité de la formation qu’ils reçoivent. Une lettre anonyme a été envoyée. Un dialogue a pourtant été établi pour y remédier selon le syndicat des enseignants francophones bernois

Une partie des étudiants de la Haute école pédagogique BEJUNE se dit insatisfaite de sa formation. Elle a fait savoir son mécontentement au travers d’une lettre anonyme. Cette dernière a été transmise à la direction de l’établissement en même temps qu’à la presse et révélée au grand jour ce matin.

Un stade d’exaspération généralisé, trop peu de coordination et une mauvaise répartition des cours, un écart trop grand entre la pratique professionnelle et les cours théoriques : le document de 4 pages ne manque pas de contenu.

Transmis anonymement, il aurait été soutenu par près de la moitié des étudiants qui se destinent à devenir professeur au gymnase, soit la formation secondaire. Au contraire, 16% d’entre eux se seraient déclarés contre le texte et 36% auraient préféré ne pas y répondre.
Un étudiant contacté ce matin fait justement partie de cette portion qui n’a pas donné suite à cette lettre. Il note qu’il n’y a pas souscrit car il l’a trouvée trop « agressive ». L’étudiant n’était également pas d’accord avec la totalité des éléments reprochés. Il a aussi indiqué que des discussions pour améliorer la situation sont déjà en cours entre l’association des étudiants de la formation secondaire (AEFS) et la direction de la HEP.

Une discussion entre les différents partenaires que confirme Joseline Stolz coprésidente du syndicat des enseignants francophones bernois et membre de l’intersyndicale BEJUNE. La lettre anonyme est donc venue comme un cheveu sur la soupe selon elle.

Du côté de la HEP, Claudine Chappuis, la chargée de communication, insiste sur un point. Les étudiants mécontents ne représentent qu’une filière de formation de la HEP, soit une « petite partie » des plus de 600 accueillis par an. Elle reconnaît toutefois que des difficultés existent et dit y travailler, sans plus de précisions.

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